OSTÉOPATHE DU SPORT A PESSAC

« Qu’est ce que c’est ? »

Il n’existe pas de diplôme d’ostéopathe du sport à proprement parler. En revanche, il existe des ostéopathes ayant validé une ou plusieurs formations complémentaires dans le domaine sportif (brevets d’Etat, diplômes universitaires, formations post-graduées).

Ils sont en général eux-mêmes des sportifs ou anciens sportifs de compétition, et sont ainsi capables de mieux cerner le profil sportif d’un patient. C’est notamment ce qui leur permettra d’accompagner ce dernier dans sa pratique tout en lui prodiguant quelques conseils avisés.

*Recommandations sportives

Nul n’ignore que le sport est bon pour la santé : Poids de forme, équilibre lipidique, lutte contre l’hypertension… On mentionnera encore la meilleure gestion du stress voire l’amélioration du système immunitaire. C’est pourquoi, l’organisation mondiale de la santé a mis en place des recommandations sportives adaptés à chaque âge de la vie.

recommandations sportives de l’OMS

*Structure d’un entrainement

Votre thérapeute sera familiarisé avec la structure globale d’un entrainement et ce, aussi bien à l’échelle d’une saison (planification annuelle des compétitions, périodes intenses, phases de récupération) qu’à l’échelle d’un entrainement (filières énergétiques : aérobie, anaérobie ou alactique, travail fractionné…).

*La Récupération

A chaque entrainement, un sportif vient puiser dans ses ressources. De manière transitoire, à l’issue de sa séance, il sera donc moins performant durant quelques temps (phase de décompensation). Toutefois, après une période de récupération d’une moyenne de 3 jours, ses capacités physiques vont au contraire augmenter, tant d’un point de vue musculaire que cardio-pulmonaire. Il s’agit de la fameuse « surcompensation », phénomène physiologique à l’origine de l’amélioration de vos performances.

Un sportif débutant ne s’accordant pas ces 3 jours de repos risque alors de mal récupérer. Pour un compétiteur, contraint de s’entrainer beaucoup plus fréquemment, il faudra également s’accorder des temps morts (le week-end par exemple). Lorsque cette dynamique d’alternance « travail/repos » est inadaptée, on risque alors d’atteindre le stade du « surentrainement », très propice non seulement aux contre performances sportives, mais aussi et surtout aux blessures en tout genre.