LA FEMME ENCEINTE
Ostéopathe pour Femme Enceinte à Pessac
Ostéopathe pour Femme Enceinte à Pessac
« Julien Roux est spécialisé dans la prise en charge de la femme enceinte »
Durant 9 mois, le corps de la femme enceinte va être soumis à rude épreuve. En effet, des évolutions physiologiques vont influencer sa statique globale.
Durant la grossesse, la lordose lombaire de la future maman s’accentue (dos cambré). Parallèlement à cela, sa sangle abdominale se dilate afin d’accueillir un ventre rond. Par ailleurs, le périnée se relâche complètement (distension périnéale). Ce relâchement sans précédent touche également l’intégralité des structures ligamentaires du bassin (symphyse pubienne, articulations sacro-iliaques, coccyx, vertèbres lombaires inférieures).
Ces phénomènes s’expliquent par la sécrétion d’hormones de grossesses (œstrogènes, progestérone et HCG). En résumé, la région lombo-pelvienne de la femme enceinte est en train de littéralement s’avachir et ne joue plus son rôle de maintient de la posture. Par ailleurs, le poids du bébé pèse vers l’avant. Pour se tenir droite, la future mère va alors devoir solliciter certains muscles de façon excessive (muscles fessiers et muscles du dos). Ceci explique l’apparition de nombreux troubles tels que dorsalgies, lombalgies basses, syndrome pyramidal (contracture du muscle piriforme), voire sciatiques.
La sciatique (compression nerveuse du plexus lombo-sacré) est parfois confondue avec une simple tendinite des muscles « moyen fessier » et « TFL » (muscle tenseur du fascia-lata). Il s’agit ici de contractures purement musculaires. De manière abusive, elles sont souvent qualifiées de « tendinite de la hanche ».
La sensation de pesanteur pelvienne est due aux pressions exercées par la tête du fœtus dans le bas ventre. Des séances d’Ostéopathie permettront de détendre l’ensemble du petit bassin afin de soulager la patiente. Elle pourront aussi limiter le phénomène de contactions utérines de fin de grossesse (des contractions trop longues ou trop fréquentes doivent absolument être signalées).
Un ventre rond entraine un étirement conséquent de toute les structures abdominales: muscles, membranes, fascias, aponévroses, ligaments (ligaments gastro-oesophagiens, membrane oeso-gastro phrénique, ligaments pré-vésicaux…). Une prise en charge ostéopathique permettra de soulager les douleurs.
Les modifications hormonales et la place prise par le bébé peuvent aussi causer des désagréments au niveau des organes
En grandissant, le fœtus va venir comprimer les vaisseaux sanguins de la future mère, notamment la veine cave inférieure au niveau abdominal. Freiné dans sa progression, le sang va alors s’accumuler dans le bas du corps, provoquant une hyperpression ainsi qu’une inflammation au niveau des cuisses et des mollets. Il s’agit de la fameuse phlébite. On assistera également à des phénomènes d’œdème des membres inférieurs (jambes en poteau, pied d’éléphant). C’est alors qu’apparaissent la sensation de jambes lourdes, ankylosées. Il faudra parfois recourir au port de bas de contention.
En se développant, le fœtus va également comprimer les organes de la femme enceinte. Les intestins se retrouvent à l’étroit, ce qui peut engendrer des ballonnements et autres des troubles du transit. La compression de l’estomac ainsi que son passage à l’horizontale sont parfois synonyme de reflux gastro-œsophagien (RGO).
L’impact hormonal est considérable. Si les hormones de grossesse ont l’avantage de relâcher les structures de la région pelvienne (préparation à l’accouchement), elles ont toutefois l’inconvénient d’agir aussi sur les organes. D’un point de vue veineux, ce relâchement favorise l’apparition de « varices de grossesse » (varices périnéales, varices vulvaires, hémorroïdes). La vessie et le rectum auront également tendance à s’avachir et leurs sphincters deviendront moins efficaces (anus et sphincters de la vessie). Le phénomène de compression fœtale n’arrangeant rien, la patiente peut être affectée de « faux besoins » (envie tronquée d’aller à la selle). Elle peut également être affectée de fuites urinaires (incontinence d’effort).
Au départ, la tête du fœtus est dirigée vers le haut. Puis, naturellement, le bébé va se retourner, et passer la tête en bas. Ce phénomène se déroule normalement entre le 4ème et le 7èmemois de grossesse.
Entre le 6ème et le 7ème mois de grossesse, quelques séances d’Ostéopathie sont recommandées lorsque le retournement fœtal tarde un peu trop. Même si cela n’est pas systématique, nombre de patientes témoignent d’un retournement spontané du fœtus dans les heures ou les jours qui suivent la séance d’Ostéopathie. Il est important de comprendre que la séance vise avant tout à libérer de l’espace en profondeur. Il ne s’agit en aucun cas d’une tentative de retournement forcé de l’enfant.
Lorsque cela ne suffit pas, il existe d’autres méthodes, plus contraignantes, qualifiées de « manœuvres externes de version fœtale ». Ces manœuvres sont pratiquées strictement au 8ème mois de grossesse (soit 36 semaine d’aménorrhée). Elles consistent pour un obstétricien à déplacer lui-même l’enfant à l’aide de ses mains posées sur le ventre de la patiente. Un traitement médicamenteux visant à relâcher l’utérus est parfois nécessaire (Salbutamol). Le taux de succès de ces manœuvres est de 50 à 60%. En effet, certains bébés retrouveront leur position d’origine durant la nuit. Dans ce cas de figure, on ne réalisera pas de nouvelle manœuvre externe de version qui comporterait des risques (lésions utérines, saignements, déclenchement de contractions utérines). A ce stade, des séances d’Ostéopathie sont encore envisageables.
La loi prévoit un ensemble de 8 séances de préparation à l’accouchement. Ces séances, conduites par une sage femme ou un médecin sont intégralement remboursées. Elles se déroulent sous forme d’ateliers durant lesquels les maris sont parfois conviés. L’objectif est de préparer les femmes aux différentes étapes de l’accouchement tout en prodiguant un maximum de conseils pratiques de grossesse. Parfois, ce service est assuré par une maternité ce qui permet de se familiariser avec les lieux (équipements, salle de travail, salle d’accouchement). Quelques cours d’anatomie sont prévus ainsi que des informations en ce qui concerne le quotidien de jeune maman (suites de couches, bain, tétée, langes…).
Un autre avantage du stage est la mise en place d’« exercices physiques et posturaux », notamment des exercices périnéaux (contrôle périnéal). On procèdera aussi parfois à des exercices respiratoires. La mère va ainsi apprendre à placer sa respiration en fonction de contractions utérines imaginaires (timing inspiratoire, et timing expiratoire). Parallèlement à cela, il faudra s’entrainer à contracter les muscles abdominaux tout en relâchant le périnée (expulsion fœtale).
En fin de grossesse, quelques séances d’Ostéopathie permettront de préparer au mieux l’étape de l’accouchement. La démarche consiste à apporter un maximum de souplesse à l’ensemble des tissus afin de faciliter l’expulsion du bébé (muscles, membranes, ligaments, fascias…). Cela permettra d’une part de libérer de l’espace au niveau du bas ventre (insertions abdominales, aponévroses, ligaments pubo-vésicaux…) tout en améliorant la mobilité des structures pelviennes (articulations sacro-iliaques, muscles coccygiens, périnée…). Un travail utérin pourra également s’avérer bénéfique. Enfin, des manipulations thoraciques favoriseront une meilleure physiologie respiratoire (non négligeable le jour j).
La grossesse est terminée et le bébé a intégré le domicile familial. C’est l’heure des suites de couche. Il s’agit des quelques semaines post-partum ayant lieu avant le retour des 1ères menstruations. Comme on peut l’imaginer, un accouchement n’est pas sans conséquences. Dès le lendemain, la mère aura tendance à être constipée, (anesthésiant péridural). Pendant 24 heures, elle pourra également ressentir les effets du baby blues. Puis, en 10 jours, l’utérus va retrouver sa taille initiale (involution utérine). Ce phénomène peut être à l’origine de tranchées utérines, c’est-à-dire de contractions douloureuses. Ces dernières ont tendance à augmenter lors des tétées. Durant quelques temps, la mère va également conserver un ventre mou, légèrement bombé.
Parallèlement à cela, vont se manifester les 1ères lochies (écoulement vaginal de sang et de muqueuses en desquamation). Assez important au départ, ce dernier s’arrête après environs 1 mois. Par ailleurs, la mère va se mettre à sécréter de la prolactine, hormone favorisant les montées de lait. C’est alors que les seins augmentent de volume et peuvent devenir douloureux. C’est la succion du mamelon par le bébé qui stimule et entretient la sécrétion laiteuse. Dans un premier temps, la mère va d’abord sécréter du colostrum (liquide jaunâtre, riche en éléments nutritifs et comportant des anticorps). Après 2 à 3 jours, elle sécrétera du lait à proprement parler.
Le périnée représente l’ensemble des couches musculaires qui constituent le plancher du petit bassin. Il est situé entre l’anus et les parties génitales. Sous l’effet des hormones de grossesse, celui-se distend complètement. Cela vise à faciliter l’expulsion fœtale. Lors de l’accouchement, le périnée va être étiré à l’extrême (ampliation périnéale). A l’aide de ciseaux, le chirurgien pourra même y pratiquera une légère incision qualifiée d’épisiotomie.
Dès la première semaine post-partale, une rééducation autonome de 2 à 3 mois est recommandée quoi qu’il arrive (exercices seule à la maison). Cela est également valable en cas de césarienne. Toutefois, il est important de comprendre qu’un périnée en bonne santé doit être tonique, sans être hypertonique. Pas question, de se construire un mur en béton!
Après 6 semaines, un bilan médical est prévu qui précisera si une procédure de rééducation assistée s’impose (kinésithérapeute ou sage femme). Par un système de sonde vaginale, on pratiquera alors l’électrostimulation musculaire et les techniques de biofeedback. Cela concernera uniquement les périnées ayant beaucoup souffert
Durant la grossesse, le périnée s’avachit. Il est donc mal oxygéné et peu drainé (circulation ralentie, varices, accumulation des déchets). Lors de l’accouchement, son étirement brutal entrainera des rupture de fibres provoquant micro saignements et intrusion interne de collagène (muscle encombré, peu fonctionnel). Par un travail en douceur, l’ostéopathe va détendre le muscle, et y relancer la circulation sanguine afin de le rendre davantage fonctionnel. Cela favorisera la récupération musculaire pour une meilleure tonicité. Il ne s’agit donc pas de rééducation à proprement parler (exercices de renforcement musculaire via des contractions) mais plutôt d’un travail d’assainissement global parfaitement complémentaire (patiente entièrement passive). Des séances seront encore recommandées en cas de « perte de sensation » ou de « dyspareunies » (douleurs durant les rapports sexuels).
Le phénomène de « ventre mou » s’estompe de lui même. Toutefois, en 9 mois la sangle abdominale s’est complètement relachée. Ça n’est qu’une fois la rééducation périnéale terminée que l’on pourra procéder à une rééducation abdominale (et surtout pas avant !). Compter 2 à 3 mois. De simples exercices abdominaux suffiront.
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